Le lancer-franc
A. JACQUET, après le titre de champion du monde obtenu, certifia qu'il ne faisait jamais tirer de série de pénalty à l'entraînement.Il argumentait que tirer un pénalty à l'entraînement et tirer un pénalty devant 70 000 personnes ( et à fortiori lors des tirs au but pour le gain du match) n'étaient pas la même chose.
Nous le comprenons aisément.
Traduit, cela signifie que les conditions d'entraînement et le contexte dans lequel l'on s'entraîne sont inadaptées à la compétition....(?)
Nous atteignons ici la dimension psychologique de l'entraînement et la préparation mentale du joueur.
Quelques-uns trouveront peut-être l'analogie entre le pénalty et le lancer-franc douteuse.
Nous savons qu'il reste une opposition face au tireur de pénalty contrairement au tireur de lancer-franc.
Mais, nous considérons qu'elle est la même: c'est le tireur lui-même.
Notre concept refuse que les conditions d'entraînement et le contexte dans lequel l'on s'entraîne ne soient pas adaptées à la compétition.
Nous proposons trois situations que nous appliquons dès la catégorie cadets pour le perfectionnement du lancer-franc.
Après, nous évaluerons ce travail en affirmant une maladresse parfois chronique aux lancers-francs pendant les matchs considérés par nos joueurs comme peu importants(?).
Nous avons atteint, par contre, un pourcentage égal ou très proche du 100% dans tous les derniers quarts-temps des matchs à enjeux.....
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